jeudi 3 juin 2010

Un jour pas comme toujours

Je réveillai le matin avec un mauvais sentant. Je savais quelque chose avait tort.
Pour commencer, les résultats de mon fils avaient été déclarés il y a deux jours. Il avait échoué lamentablement.
Je allai dans le salon. Ma femme était là. J'ai remarqué ses larmes n'avaient pas séché encore. Nous rêvâmes d’un brillant avenir pour notre fils. Nous avons été extrêmement déçus.
Je vis mon fils entrant la salle. Sereinement, il s’assit sur la chaise et dit à sa maman, « J’ai faim ». Elle ne bougeait pas. Il demande encore. Elle ne fit rien. Ça me choquai. C’était vrai nous avons été déçus mais le refusant nourriture n’était pas juste. Alors, je criai de servir le fils quelque chose à manger. Elle commença à pleurer.
Je partis pour mon bureau. Quand je sortais, je pensais que j’oubliai quelque chose.J’essayai de rappeler dur mais je ne pourrais pas. J’arrivai mon bureau en retard. Tout le monde me regardait comme j’étais la seule personne sur la terre à venir en retard au travail. A ce moment la mon boss me héla. Je soupirai. Quand j’entrais je commençais à dire, «Désole monsieur mais l’embouteillage…» Mais il me dit sympathiquement, « M. Sharma, j’entendus parler de votre fils. Et je crois vous devriez être avec votre famille aujourd’hui. Vous pouvez partir »
Quand je partais j’entendais mes collègues bavardant parmi eux,
« Quelle arriva ? »
« Son fils ? »
« Ah. C’est mal »
« J’espère qu’il va bien »
« Mais il semble si calme ? »
Ma tête était remplie d’émotions de haine et colère. Mon fils avait fait honte à moi.
Quand j’arrivais chez moi, ma femme m’embrassait. Elle pleurait encore. Elle me dit
« Nous marcherons par ce problème chéri. Promets-moi »
Mais je ne pourrais pas entendre rien. J’allai à la fenêtre où mon fils était debout.
Je lui regardai pour long temps. Et soudain il leva les yeux, sourit et me dit, « ne vous inquiétez pas. Tout ira bien. »
J’allai à la chambre. J’ouvris l’armoire.Là bas était une lettre, je sentis je lus avant.
« Papa, Je sais que vous êtes déçu de moi. Pardon-moi car je peux pas vivre avec ça. J’espère vous comprendrez. »
Et tenant ça note de suicide à mon cœur, je pleurai comme un petit garçon pour mon propre petit garçon.
Mon fils s'était suicidé hier.


Morale: Ne vous laissez pas tellement en colère que vous cessez d'aimer. Parce qu'un jour vous vous réveillerez à partir de cette colère et la personne que vous aimez aura disparu.

4 commentaires:

  1. wat a thought man ciruali ilykd it n top of it i m also tooo short tempered so i need to learn such things....:( ...
    u u wrote fatte ...keep blogging n b my gyaan baba(baby)...lol

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  2. :) Merci beaucoup beacucoup!!!

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  3. je suis touchée après lire cette conte!!!
    vraiment très bien!!!!! :)

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  4. i liked this one more :P


    keep up \m/

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